La technologie nous permet d’avoir des échanges très qualitatifs.
Zoom, Whattsapp, Microsoft teams, Google meet… se sont imposés dans les entreprises et les ménages.
Les étudiants en sont désormais familiers, et doivent les utiliser pour continuer à apprendre et obtenir leurs diplômes.
La technologie a donc rendu l’e-learning facile et surtout, peu cher. En ces temps de crise, c’était la formation en ligne ou rien.
C’est mieux que rien et le pays ne peut se permettre de mettre à l’arrêt le développement et la scolarité de millions d’étudiants.
Si l’on ne peut approcher un autre humain, que nous reste-t-il à part des écrans ?
La transmission des savoirs par les professeurs est optimale, ces derniers faisant de leur mieux pour se rapprocher le plus de la réalité d’une salle de classe.
Le partage d’écran aide énormément mais comme le non verbal et le para verbal pour la communication, le para-présentiel et le non-présentiel rend l’apprentissage moins soluble à la compréhension.
Je crains de ne pas pouvoir définir précisément cette impression de manque que ressentent tous les apprentis derrière leur écran.
Voir, sentir, ces sens sont clairement absents et cette absence se fait ressentir chez tous les apprentis. Les mots, les notions, les explications… Oui, c’est bien un professeur qui recrache son topo comme s’il était en présence de ses étudiants et pourtant le manque est omniprésent.
L’e-learning mène à BIC
Je n’ai jamais autant écrit de ma vie. Et je l’ai fait malgré les documents et autres fichiers PDF que les professeurs nous transmettent à chaque fin de cours.
Ecrire devient le seul ancrage efficace pour retenir les informations reçues.
Pour l’avoir vécu, je ne peux que vous encourager à acheter des rames de papier si vous voulez vraiment assimiler ce que vous apprenez.